Bonjour à vous!!!!!!!!!!!!

Voici quelques pharses qui m'ont profondément touchées.

Elles sont tirées de livres, pour la plupart, mais certaines de personne anodines...

Les voici:

   Ses longs cheveux noirs tombant en rideau devant son visage, son attitude, position de combat ou figure de danse, l’énergie qui se dégageait d’elle…

   La fille n’était plus une fille. 

   C’était un oiseau.

   Prêt à l’envol. 

   Chuintement feutré et la mort surgit entre ses phalanges. Lames étincelantes au tranchant parfait. Serres. 

   Un oiseau de proie. 

   Piètres chasseurs  devenus gibier terrorisé, les quatre hommes s’enfuirent. 

   Ellana rétracta ses griffes et se remit en marche. L’atmosphère de la ville lui pesait tout à coup. Pour merveilleuse que soit Al-Jeit, elle avait besoin d’espace, de nature, de solitude. 

   Il était temps de s'envoler pour de bon. 

(Extrait de Ellana, de Pierre Bottero. )                                                               

   Il est des relations si intenses qu’elles nécessitent l’éloignement pour continuer à se développer en conservant leur équilibre. 

(Extrait de Ellana, de Pierre Bottero. )    

   On a toujours le choix. Il suffit de faire le bon.          

(Extrait de, soit La quête d'Ewilan, soit de Les mondes d'Ewilan, de Pierre Bottero)                                          

   Tout devenait possible, car ce message disait: «Je reviens ».  

(Extrait de Tobie Lolness, Les yeux d'Elisha (tome 2), de Timothée de Fombelle)

   Ombre parmi les ombres, Ewilan s’enfonça dans la nuit.                                       

 (Extrait de La quête d'Ewilan, ou des Mondes d'Ewilan, de Pierre Bottero)   

   Deux souvenirs anciens remontèrent voilement en lui.  

   L’hiver passé dans la grotte du lac. Cette peinture qui l’avait fait mystérieusement tenir. 

Et puis cette marche sur le fil, entre les œufs, le jour de la mort de Jo Mitch. Marcher sur un fil… Il se souvient de son impression. L’impression de suivre quelqu’un. 

   Le peintre et la funambule. Nino et Tess. 

   Ses parents. 

   Ils ne l’avaient jamais abandonné.  

(Extrait de Tobie Lolness, Les yeux d'Elisha (tome 2), de Timothée de Fombelle)  

   La vie est un chemin qui se parcourt dans un seul sens. La reprendre à zéro est impossible. On peut choisir sa destination, réfléchir quand on arrive à une intersection, ralentir, accélérer, décider de ne plus refaire les erreurs, on ne peut jamais en arrière. 

(Les âmes croisées, de Pierre Bottero.) 

   Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. 

(Personne inconnue...)

J'espère qu'elles vous feront réfléchir un peu, au moins, sinon qu'elles vont vous marquer profondément... Peut-être faut-il un contexte mais je ne pense pas...

Voilà

Bye bye

MamzelleAlisée